Le chevalier Vailant

/! POUR DECRIRE CE PERSONNAGE JE DOIS PRESENTER L'EPISODE EN QUESTION DANS LEQUEL IL APPARAIT.

LIBRE A VOUS DE LIRE CET ARTICLE OU NON....

 

 

Chevalier hors pair, manipulateur et remplit de rage, sa férocité dans le combat est à l'image de sa personne. Son but ? Tuer Arthur Pendragon.

Ce personnage apparait uniquement dans l'épisode 2 de la première saison ("Le Chevalier Vailant"). C'est le premier véritable ennemi humain que doit combattre Arthur.

Avant de se rendre à Camelot (3 jours non stop de combats y sont organisés), le Chevalier Vailant s'arrête en premier lieu dans une boutique y récupérer l'arme la plus puissante, celle capable de venir à bout de n'importe qui et de le tuer sur le champ. Le vendeur lui remet alors un bouclier sur lequel 3 serpents sont dessinés. Après une incantation, les rampants prennent vie et le vendeur explique alors au chevalier qu'ils lui sont désormais dévoués et qu'ils apparaitront dès que celui-ci les appelera. Seul moyen de tuer son adversaire : le faire tomber à terre pour l'obliger à se retrouver pris au piège sous le bouclier. De cette façon personne ne verra ce qui se passe et Uther ne soupçonnera pas l'utilisation de la magie.

Avant de quitter la boutique, le Chevalier invoque les serpents et leur ordonne de tuer le vendeur.

 

Après quoi il se rend à Camelot où il ne tarde pas à faire bonne impression à la fois devant Uther mais aussi devant Morgane. Il remporte tour à tour les combats et très vite le fossé qui le sépare d'Arthur diminue.

Alors qu'il part chercher l'épée pour Arthur, Merlin entend comme un susurrement. Il finit par découvrir le bouclier caché sous une cape mais n'a malheureusement pas le temps de s'y attarder que son propriétaire arrive.

Les combats reprennent de plus belle et Vaillant remporte de nouveau la partie : son adversaire s'écroule. Néanmoins l'homme (Ewan) n'est pas mort. Son pouls a beau être très faible, il respire encore. Merlin le conduit chez Gaius qui découvre deux morsures à son cou, semblables à celles des serpents. C'est à ce moment là que Merlin fera le rapprochement entre le bouclier et les morsures. Il demande alors à Gaius s'il peut le sauver mais celui-ci explique qu'il ne peut créer un antidote qu'à partir de la bête qui a empoisonné sa victime. Sans hésiter une seconde, Merlin part directement (et discrètement) dans les appartements de Vaillant. Le bouclier prendra alors vie et Merlin, épée en main, réussira à trancher une des têtes des serpents. Mais il ne pourra tuer les deux autres, Vaillant arrive et Merlin n'a que le temps de récupérer la tête avant de quitter les lieux.

 

Gaius crée alors l'antidote nécessaire à Ewan pour lui permettre de guérir.

Merlin quant à lui trouve Arthur (en plein repas !) pour lui faire part de sa découverte. La tête de serpent avec lui, il demande à Arthur un procès contre le Chevalier Vaillant en but de prouver à tous qu'il y a bien eu acte de sorcellerie. D'abord réticent, Arthur finit néanmoins par accepter.

Devant son père et toute la Cour, le jeune prince accuse Vaillant de tricher en utilisant la magie. Uther demande ensuite des preuves et Merlin lui montre la tête de serpent.

Mitigé, le roi demande confirmation auprès de Vaillant qui, bien évidemment, nie tout en bloc. Pour prouver les dire d'Arthur et Merlin, Uther demande une preuve plus importante : un témoin. Arthur révèle qu'Ewan a survécu et que, grâce à Gaius, il peut venir témoigner. Malheureusement, Gaius avait du s'absenter quelques temps et l'un des serpents avait définitivement achevé Ewan.

Arthur s'emporte, furieux d'avoir été autant humilié devant toute la Cour et, de retour dans sa chambre, renvoie Merlin, lui avouant préférer un valet digne de confiance. 

 

Démoralisé, perdu, gêné... Merlin part retrouver le Grand Dragon et lui révèle qu'il ne peut aider quelqu'un qui le déteste et qu'il n'est pas le magicien que Kilgharrah attendait. Mais la Créature n'en démord pas : Merlin EST celui qui doit aider Arthur.

Le jeune homme qui ne sait véritablement plus quoi faire, part s'isoler un moment sur les marches du château. Guenièvre vient le rejoindre quelques minutes plus tard. Elle lui demande alors si ce qu'il a dit au sujet de Vaillant et de la magie est vrai. Merlin approuve. La jeune femme lui demande ce qu'il compte faire. Merlin lui avoue alors que, chose étrange, tout le monde se tourne automatiquement vers lui lorsqu'il s'agit de régler les choses. Mais Guenièvre n'en démord pas ! Merlin doit prouver à tous qu'il dit vrai ! Seulement tous deux ignorent comment s'y prendre.

Le visage de Merlin va alors s'illuminer lorsqu'il voit une statue représentant un chien.

Un sourire aux lèvres, il se dirige vers la statue. Guenièvre le suit et Merlin lui demande une brouette pour l'aider à la transporter car celle-ci est trop lourde. Guenièvre lui en trouve une sans chercher à comprendre et Merlin ramène le bloc de pierre à Gaius, avant de s'enfermer dans sa chambre.

Nuit et jour jusqu'à épuisement, le jeune homme va tenter d'éplucher toutes les formules magiques car il n'y a qu'un seul moyen de prouver ses dire : donner vie au bouclier de Vaillant.

Lorsqu'il trouve finalement la bonne formule, Merlin la teste sur la statue mais c'est un échec. Faute de concentration et fatigué, il n'en démord cependant toujours pas ! Le jour de l'affrontement entre Arthur et Vaillant se rapproche et Merlin n'a toujours pas réussi à donner vie à la statue. Il se décide finalement à trouver Arthur pour le convaincre de renoncer au combat mais le jeune prince refuse.

Toutes ses journées, il les passe à essayer de donner vie à l'animal. Le jour J et bien qu'épuisé, Merlin récite une dernière fois la formule. Cette fois-ci, le sort marche. Le chien devient vrai ! Merlin a réussi !

L'heure tournant, il quitte sa chambre, y enferme le chien et court précipitamment rejoindre le lieu du tournoi. Il guette alors scrupuleusement la scène pour savoir quand donner vie au bouclier. Le moment opportun se présente finalement : Arthur et Vaillant sont l'un en face de l'autre et l'arme du "traitre" est visible aux yeux de tous.

Les deux serpents restants réussissent néanmoins à sortir du bouclier et Vailant leur ordonne de tuer Arthur qui se retrouve à leur merci, sans la moindre arme. Morgane s'empare alors d'une des épées d'un chevalier à ses côtés et la jette à Arthur. Le combat final est rapide : les serpents sont tués et Arthur n'éprouve aucune pitié pour Vaillant qu'il achève d'un coup mortel.

Uther est alors profondément peiné de n'avoir pu déceler une quelconque forme de magie. Arthur, quant à lui, remercie Merlin d'une tape à l'épaule.

L'épisode s'achève par un banquet ! Morgane vient trouver Arthur en apparté qui, trop fier, refuse d'admettre avoir été sauvé par une femme.

Il vient ensuite trouver Merlin et lui parle de sa discussion avec Morgane. Toujours fièrement le prince rétorque qu'il n'est pas le genre de personne à avoir besoin d'une quelconque aide. Merlin, gêné, baisse les yeux. Mal à l'aise, mais humble, Arthur lui présente alors des excuses pour l'avoir renvoyé. Merlin lui dit alors de ne pas s'en faire pour ça mais précise qu'il peut oublier toute cette histoire si Arthur lui paie un verre. Le prince alors gêné lui explique que ce n'est pas dans ses habitudes d'offrir à boire à son servant. Servant ? Oui car Merlin retrouve finalement sa place de valet de chambre !